La deuxième réunion de négociation du titre III augure bien mal de la suite. D'entrée de jeu, la direction a opposé aux représentants du personnel, l'état qu'elle juge très alarmant des finances des écoles… Nos écoles, hormis l'UTEC  présentent un déficit de 12 millions d'euros. On s'étonne que cela étonne après "la révolution copernicienne" des lois Pénicaud concernant la formation professionnelle, la révolution systémique de la CCIR Paris idf qui a explosé façon puzzle l'unité de nos écoles et plus globalement des services de la CCIR, la crise sanitaire dont nous ne sommes pas encore sortis. Comment pourrait-il en être autrement ?  Y a-t-il aujourd'hui de l'hôpital à la justice en passant par l'éducation un secteur remplissant des missions de service public en France, qui ne soit pas en déficit ?

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